écouter Barbara
peu dormir
entendre parler de lui
par un autre qui me rappelle qu’aimer c’est aussi souffrir
lui parler
en être heureuse
…tout ce qu’il faut pour défaire l’amour (avant de l’avoir fait).
Tag - Shakespeare
mardi 9 juin 2009
Êtat d'âme (ou rrrrrrrr)
Par presque le mardi 9 juin 2009, à 23h15 - Presquipice
samedi 6 juin 2009
Boum boum
Par presque le samedi 6 juin 2009, à 16h44 - Presquipice
Emeliana Torrini - Fireheads
Où est passée la fille d’il y a deux jours, sereine, sûre d’elle et de son choix ? Où se sont enfuis sa détermination, son « je te renonce » et ses résolutions ?
Il aura suffi de sa voix, de ses mots, de son souffle…
Il existe. Ce que nous ressentons est réel. Je ne peux pas faire comme s’il n’était jamais apparu au coin de ma vie.
Ma tête a voulu protéger mon cœur. Elle a eu raison. Mais mon cœur, là, a raison d’elle.
Et tout ce que je veux, là, c’est être dans ses bras.
lundi 1 juin 2009
Renoncement
Par presque le lundi 1 juin 2009, à 20h04 - Presque ou pas
Je voulais vivre cette histoire aussi pleinement que ma vie. Tu préfères faire de nous un rêve, un drame shakespearien, une tragédie racinienne.
Je suis pour toi le symbole du choix entre raison et passion.
Tu es pour moi le signe que l’Amour est possible encore.
Si j’étais sereine, ce n’était pas de savoir que nous nous retrouverions. C’était de savoir que je ne t’attendrais pas.
Il est des histoires qui finissent avant d’avoir commencé.
Illustration sonore : James Blunt - Goodbye My Lover
mercredi 27 mai 2009
L'amour à conditions
Par presque le mercredi 27 mai 2009, à 21h15 - Presq'monition
il ne sert à rien de nous dire tu me manques j’aimerais que tu sois là je voudrais m’endormir dans tes bras et que tu me réveilles doucement demain matin. Mais nous finissons par le dire quand même parce que le silence est si éloquent qu’il vaut mieux lui faire dire moins. « Entre deux mots faut-il choisir le moindre ? »
Et quand j’éteins la lumière et me réfugie sous la couette avec sa voix dans mon oreille et la grande musique qu’il me fait partager pour bercer notre histoire, les larmes me montent aux yeux.
Je ne souffre pas. Je suis simplement triste de ne pouvoir vivre cet amour.
Si nous pouvions nous échapper, ne serait-ce qu’une semaine, juste pour nous deux, nous délivrer de ce contexte envahissant, de ces contraintes - qu’il a choisies aussi…
Si nous assumions l’adultère (ou s’il comprenait qu’être amoureux d’une autre c’est déjà la tromper), nous nous enlèverions mutuellement pour aller vivre plus.
Un jour nous nous retrouverons (mais il n’est pas sûr que je serai là).
dimanche 24 mai 2009
Fée blesse*
Par presque le dimanche 24 mai 2009, à 19h34 - Presque ou pas
Et tandis que Marraine la F(êl)ée profite de vérité, de légéreté et de jolis plaisirs autour d’un feu de bois chantoyant, Arthur et Lancelot du Lac se perdent à la chercher, et la perdent dans de longs monologues. (Et la perdent ?)
Il était une fois une fée embarquée dans un conte pour adultes (pourquoifairesimplequandonpeutfaire) compliqué alors qu’elle rêvait de simplicité et qui se demandait s’il ne valait mieux pas changer d’histoire, quitte à perdre un peu de magie.
(*désolée...)
La fiancée de l'eau - La Rue Kétanou
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