Enfin presque

Je suis redescendue sur la planète terre-à-terre. Mon cerveau analytico-égocentrique est en vacances. Et ce n'est pas parce que je suis occupée qu'il me laisse libre, mais bien parce qu'il est sur pause que je peux m'activer.

Mais j'en serais presque à regretter parfois. L'inspiration, surtout. Utiliser mes neurones pour autre chose que le boulot (même si c'est un luxe qu'on m'y demande ça), par exemple, j'aimerais bien.

(J'avais des creux, j'avais des bosses
À jouer la boss je me sens creuse.)

Suis heureuse.
Ptêt même sereine.

Ben, pouvez rire, ça fait drôle.

("Les gens heureux, ça pleure toujours trop vite" ?)