Je crois qu’il faut que j’en parle. Que j’en parle sans force, qu’il n’y a plus besoin de forcer pour que ça sorte.

Je voudrais raconter et me laisser aller aux pleurs, comme en hypnose, peut-être.

Je ne sais juste pas comment faire. Tant de barrières, mes protections, projections.

Arrêter d’en parler avec du recul, le dire sans humour,

Tout ça, le dire vraiment.

 

Cette maladie est un fléau mortel. Une vraie plaie qui en moi ne s’est jamais vraiment refermée.

 

Une chanson... qu'il me chantait (attention, elle est gaie)