C'est sûr, ce n'est pas plus mon problème.
Mais pas comme on peut t'approuver dans tes excès, tes errances, et trouver ça aussi "cool" que toi.

J'exècre ton alcoolisme. Je hais la façon dont tu dis que tu n'as pas une, mais plusieurs bonnes étoiles.
Je te le disais déjà : un jour ton corps le paiera. Peut-être ça arrivera tout à coup. Comme un portrait de Dorian Gray soudainement décomposé, tous tes bleus, toutes tes cicatrices, tous tes os cassés, tes muscles froissés, tes dents démontées surgissant en même temps. Au moment de mourir, je suppose.

J'exècre ton alcoolisme. Je déteste que tu choisisses le côté où tu sombres.
Tu mériterais de l'amour et tu fais tout pour mériter des claques.


J'exècre ton alcoolisme. Je hais la façon dont tu te détruis, que tu te détruises, surtout.

Je déteste que ce soit un choix. Je déteste que ce soit un choix ! Parce que, putain, lui ne l'a pas eu ! Tu l'as, asshole ! Tu l'as.
Regarde-toi, aimé. Retire les capsules de bière qui te servent d'œillères. Regarde en toi.


Tu méritais de l'amour et tu n'as eu que des claques.